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Sur les liens entre renommée et troubles mentaux il y a aussi une autre conjecture. Dans personnes « communes », un grand nombre sont dits créatifs. C’est le cas par exemple de mueck Stromae, de l’écrivain Michel Houellebecq, ou du coupeur Jean-Paul Gautier. Il est véritable que l’imagination est fréquemment associée aux troubles mentaux, lien illustré notamment dans les biographies d’artistes illustres : Honoré de Balzac et Virginia Woolf ont vraisemblablement présenté une psychose maniaco-dépressive ( pandémie dénommé aujourd’hui harcèle bipolaire ), John Nash, modèle géomètre était atteint de schizomanie, sebastien Verlaine était alcoolique, Antonin Artaud souffrait d’hallucinations, Vincent Van Gogh aurait souffert d’accès psychotiques, etc.
chacun des adolescents rêvent-ils de popularité ? Beaucoup, quoiqu’il en soit, selon le psychiatre et psychanalyste J. -D. Nasio, auteur de Mon corps et ses peintures ( Payot, 2007 ) : « Ce libido se manifeste plus confortablement chez eux, car il est fréquemment entretenu par la recherche d’identité. Le jeune a besoin de la reconnaissance des autres pour savoir qui il est , alors que les personnes mûres n’ont pas besoin d’être reconnues pour se sentir efficaces. » La réelle question qui vit est celle du passage à l’acte. « Je ne suis assemblé sur scène, mais je suis à présent un sociologue reconnu, qui continue à désirer la renommée, avoue François de Singly. Il y a donc eu un déplacement. Rêver de popularité à 15 ans, c’est peut-être obtenir des possibilités d’être bien connu, peut être dans un autre secteur, à 40 ans… »
Les entreprises d’assurance rendaient son engagement économiquement excessif : l’acteur, à la notoriété capricieux, risquait de enfoncer à tout moment. Happy ending : depuis huit ans, sa minimalisme exemplaire n’égale que ses succès au box-office. Mais on attend toujours le rentrée professionnel de Lindsay Lohan… « Nombre de mes patients, protagonistes et stars, m’ont été adressés par leurs producteurs, parce qu’ils n’étaient plus susceptible leur faire gagner des finances », regarde Marie-Dorée Delachair. Cette physionomiste franco-américaine, pro des addictions, a pratiqué dix ans à Los Angeles. « J’intervenais pour transporter des visiteurs, le plus fréquemment accros à la prise, en cure de désintoxication. » Elle s’est même retrouvée intermédiaire sur un plateau de tournage. « Une famille dysfonctionnelle comme les autres, analyse-t-elle. J’ai dû affaiblir les luttes d’avoir la possibilité d’, les rassembler à leur projet commun. » Déontologiquement, Marie-Dorée est tenue de préserver l’anonymat de ses patients. Hollywood apprécie la furtivité.
Et si d’aventure la constitution de la première empathies est fragile, la démesure de ce qui est suspendu peut être fatale. S’y discerner est faire assortiment avec Dieu. Et la douleur dernier surgit au moment de retoucher terre, à l’instant de la réduction qui conduit l’être à ne éclater que comme un dépôt. Il réalise que le reflet de l’univers est un leurre, et que l’image qui s’est construite par l’attention de l’autre-monde est un rêve collective, une flirt. Alors, comme un cinglé se dessaisit de son rêve, il chute de son règle sélénite et enfoncer dans une forme atrabilaire de fin du monde. Celui qui tenait l’univers n’est plus, et tout s’effondre avec lui.
Beaux, riches et communes. Le tableau sauvage ! mais cela ne s’arrête pas là ! Ces personnes célèbres sont aussi intelligentes. Oui, car multiples sont les stars d’Hollywood à faire preuve d’une discernement exceptionnel, en plus d’afficher une agréable carrière et un physique adorable. Non seulement leur carrière touché des sommets, mais leurs diplômes et parcours scolaires feraient rougir d’envie chaque super éclairé ! Êtes-vous fan de savoir combien de cerveaux se cachent derrière les plus beaux physiques d’Hollywood ?
Il estime que certains scénarios «pré-établis», comme les remue-ménage d’ascension sociale extraordinaire, déclenchent une réaction émotive parce qu’ils sont engagés dans nos cerveaux. Si l’on observe les désordre de vedettes, celui qui défraient le plus le récit correspondent souvent à l’une ou l’autre de ces entreprises de base. Prenez la étiolement de Charlie Sheen, par exemple : c’est la légende caractéristique du «mauvais garçon» –qui change fréquemment en quête de expiation, sur le prédispositions du «Fils prodigue».
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